Monday, November 16, 2009

Mespéripéties professionnelles

Cette semaine a été consacrée à ma stabilité professionnelle. Je me présente au bureau pour travailler, j’aide un des employés à faire son budget, je contacte mon patron à plusieurs reprise sans le rejoindre et disons que cela affecte sérieusement mon moral. Je fais des démarches auprès d’une autre organisation pour donner des cours de formation et j’ai une réponse positive sauf qu’en faisant la demande budgétaire, je me bute cette fois à une réponse négative. De plus, ce même jour, j’ai ma première rencontre pour organiser la journée des volontaires et disons qu’elle se déroule un peu dans la cohue. C’est difficile pour moi de diriger une rencontre où tout le monde parle en même temps et en plus ajoutons à cette difficulté que 75% se déroule en anglais.
Finalement, le lendemain, tout s’organise pour que je donne une formation de 2 jours lundi et mardi les 16 et 17 novembre. Je suis très contente car j’étais sur le point de désespérer. Mardi soir, j’aurais fait ma visite pour retourner à la maison. J’ai donc mis beaucoup d’énergie à finir la préparation de mon matériel de formation et comble de malheur, vendredi matin, je perds plus de 75% de mes fichiers. Nous devons donc remettre notre voyage à Pouss à la semaine prochaine, pour aller voir les hippopotames, afin reprendre une grande partie de mon travail mais j’en suis très heureuse car maintenant c’est mission accomplie.
Une visite au centre de l’artisanat
Marcel et moi décidons d’aller au centre de l’artisanat pour voir ce qu’ils ont et choisir ce que nous voulons rapporter au Québec, pour nous et pour nos proches. Disons que je voulais y aller depuis quelques temps mais je craignais cette visite car les vendeurs nous harcèlent afin que nous achetions. Je me suis préparée psychologiquement à cette épreuve car c’est vraiment une épreuve pour moi. Finalement, je m’en suis bien tirée. J’ai dit que je prenais les prix, que j’écrivais les objets qui m’intéressaient, que j’allais faire mon budget et revenir. Je suis fière de moi, cela a marché. Marcel a trouvé cela plus pénible et il m’a laissé là car il se trouvait trop envahi.

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